mardi 13 octobre 2009

Annexe à la réponse

Il m’a été donné de donner mon avis sur un certain “philosophe” du nom de Platon, que j’ai alors décrit comme l’image même de “l’homme du ressentiment” au sens nietzschéen. A la fois le créateur de la vie éternelle, de dieu, et son meurtrier. Je m’aventurais alors sur le caractère médiocre du premier des philosophes, puisque, résultat de mes recherches, il apparaît que nous lui devons la distinction entre “sophisme” et philosophie. Difficile de condenser. Disons, que Platon pose une définition de ce qu’est philosopher et qu’il le fait en opposition au sophisme. Or, le sophisme, qui nous apparaît aujourd’hui comme le type même de la masturbation intellectuelle, n’a pour unique objet que la pensée en tant qu’elle est pensée. Platon est donc l’être, à mon avis incroyablement néfaste, qui introduit la notion de rentabilité dans l’exercice on ne peut plus ontologique de la pensée. Selon lui, la pensée doit servir à quelque chose. Il me semble qu’il y a ici un complément pour la compréhension de la réponse que j’ai ci-dessous formulée.

3 commentaires:

  1. Ben... Alors, Anonyme, je vous attendais , là... Les origines perverties de la philo, ça ne vous cause pas? Platon, Aristote, c'est un trop gros morceau pour vous?

    PP

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  2. Si par extraordinaire vous vous adressiez à "ma pomme", je répondrais qu'un amoureux de la manducation ne s'étouffe jamais, même avec de gros morceaux. Le plaisir augmente aussi grâce à la petite sauce avec laquelle certains cuisiniers les agrémentent et... s'en accommodent. De plus les perversions me font saliver tout comme les effluves d'un bon vinaigre de vieux Bordeaux. A table ! ( Sans allusions à "Fellini") 

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